Dominic Lamontagne

Explorez les saisons agricoles à travers les yeux de Dominic Lamontagne, qui nous emmène dans un voyage captivant au cœur de la vie à la ferme. Dans cette série d'articles, Dominic Lamontagne met en lumière l'importance vitale d'une alimentation durable et responsable, célébrant le travail essentiel des agriculteurs artisans. Plongez-vous dans ces récits pour redécouvrir le lien précieux entre notre nourriture, notre santé et notre planète.

Plongez dans cet article captivant qui prône un modèle de vie autonome et durable. Dominic Lamontagne partage son expérience de la vie à la ferme, où l'abattage des bêtes, la récolte des fruits de son travail et la transformation du bois incarnent une existence en harmonie avec la nature, loin de la dépendance aux systèmes économiques modernes.

Plongez dans cet article captivant qui prône un modèle économique axé sur l'économie de subsistance. L'auteur partage son expérience passionnante de cultiver un jardin intérieur dans une serre, combinant l'élevage de poules et le compostage pour produire ses propres aliments de manière durable. Ce récit met en lumière l'importance des relations harmonieuses entre l'homme et la nature, offrant non seulement des récoltes abondantes de fruits et légumes, mais également des œufs frais et de l'engrais naturel. Découvrez comment ce cycle annuel crée un écosystème autosuffisant, enrichissant le sol et fournissant des ressources essentielles tout au long de l'année.

Explorez une approche passionnante de l'agriculture durable et de l'autonomie alimentaire dans le récit captivant de Dominic Lamontagne. Découvrez comment il réduit son empreinte écologique tout en vivant en harmonie avec la nature, des premiers jours d'hiver dans la serre au renouveau printanier plein d'espoir.

Retrouvez les chroniques de Dominic, son quotidien à la ferme au fil des saisons - Récit passionnant d'une mise bas inattendue à la ferme, mettant en lumière l'importance vitale de l'élevage et de l'omniculture responsable dans notre monde.

Stéphane Gendron écrit: « Au cœur du débat sur l’avenir de notre humanité, il doit nécessairement y avoir un élément de décroissance dont personne ne veut entendre parler. » Et pour cause! Si l’on croit encore aujourd’hui qu’une croissance économique soutenue est l’apanage d’une société qui va bien, c’est qu’on oublie non seulement que les ressources de notre planète sont épuisables, mais aussi que l’opulence des uns découle généralement de l’appauvrissement des autres. À la lecture de l’ouvrage de Stéphane, je pense à l’abandon de nos terres au profit des villes, mais également à la dévalorisation de la polyvalence au profit de la spécialisation. D’une population plutôt rurale qui détenait une multitude de savoir-faire pratiques et savait s’en tirer avec les moyens du bord, nous sommes passés à une population plutôt citadine, beaucoup plus scolarisée, avide d’emplois spécialisés lui permettant de mettre en valeur un nombre de plus en plus restreint de compétences de plus en plus pointues. Ainsi est né le travail en silo : il ne s’agit plus d’être capable de tout faire avec un certain degré d’efficience, mais de faire une seule chose très efficacement. Obnubilée par de nouvelles ambitions productivistes, la population urbaine s'est laissée aisément convaincre qu’il était plus moderne d’acheter que de faire, et plus pratique de remplacer que de réparer. On s’est rapidement épris de cette société de consommation dont plusieurs commencent aujourd’hui à réaliser les limites et à admettre les travers.